Longtemps, Jean-Loup Chiflet s'est levé de bonne heure, pour se plonger dans le monde jubilatoire de l'humour. De Montesquieu à Coluche, de Feydeau à Frédéric Dard, de Jules Renard à Bourvil, des Pataphysiciens aux Oulipiens et de Molière à Blondin, il a essayé d'en analyser le mécanisme complexe : l'humour est-il vraiment un « excès de sérieux », comme le pensait Tristan Bernard, ou « une tentative pour décaper les grands sentiments de leur connerie » comme le laissait plutôt entendre Raymond Queneau ? Vaste débat...
Dans ce Dictionnaire amoureux, et du fait même subjectif, il laisse aussi libre cours à ses passions pour le nonsense anglosaxon ou les magiciens de la langue que sont Vialatte, Ponge, Prévert et tant d'autres.
Six heures du matin : Berthe, cent deux ans, canarde l'escouade de flics qui a pris d'assaut sa chaumière auvergnate.
Huit heures : l'inspecteur Ventura entame la garde à vue la plus ahurissante de sa carrière. La grand-mère au Luger vide son sac, et le récit de sa vie est un feu d'artifice. Il y est question de meurtriers en cavale, de veuve noire et de nazi enterré dans sa cave. Alors... Aveux, confession ou règlement de comptes ? Ventura ne sait pas à quel jeu de dupes joue la vieille édentée, mais il sent qu'il va falloir creuser. Et pas qu'un peu.Poétique, réaliste, cynique, émouvant et captivant. Un texte de haute intensité drolatique et émotionnelle. Lire.Un roman noir désopilant où il est question de guerre, de haine, d'amour et donc d'emmerdes. Le Nouveau Magazine littéraire.Plus qu'un personnage littéraire, Mamie Luger est un symbole. Sang-froid.D'une efficacité absolument redoutable. « Cercle noir », France Culture.
Sous l'oeil hautain d'un chat impassible, l'auteur avance, hésitant, essayant - vainement - d'échapper aux affres de la Création pour trouver le chemin du succès ! Pendant ce temps, l'éditeur travaille d'arrache-pied sur de nouveaux concepts : poésie pratique ; théories conspirationnistes de plages ; classiques résumés pour lecteurs pressés ! Le libraire, lui, tient bon la barre entre les avalanches de cartons et les demandes impossibles de son alter-ego infernal : le lecteur. Et les bibliothécaires ? ils poussent leur chariots, sans bruit, seuls à savoir qu'ils dominent dans l'ombre ce petit monde qui s'agite en vain. À grands coups de diagrammes abscons, de schémas absurdes et de strips hilarants, c'est le grand portrait du petit monde du Livre que Tom Gauld nous brosse ici, avec humour, finesse et intelligence ! Moins tatoué qu'Augustin Trapenard mais pas moins drôle que Bernard Pivot, Tom Gauld est publié chaque semaine dans le cahier littéraire du Guardian et il s'est imposé, en quelques années, comme l'un des auteurs incontournables du monde Anglo-saxon. Avec ce nouvel album, il nous offre de quoi réveiller notre rentrée littéraire... Lectrices, lecteurs, amoureux des livres de tout poil : voici votre nouveau livre de chevet !
Le 36 quai des Orfèvres s'offre un nouveau patron. Le but de la manoeuvre : faire briller les statistiques en placardisant tous ceux qu'on ne peut pas virer et qui encombrent les services.
Nommée à la tête de ce ramassis d'alcoolos, de porte-poisse, d'homos, d'écrivains et autres crétins, Anne Capestan, étoile déchue de la Judiciaire, a bien compris que sa mission était de se taire. Mais voilà, elle déteste obéir et puis... il ne faut jamais vendre la peau des poulets grillés avant de les avoir plumés !
« On est déjà addicts. » Elle.
« Un mélange d'humour, de dérision et de réalisme sur les guerres intestines de la Police. » Talentueux. Le Point.
Prix Polar en séries.
Prix Arsène Lupin.
Si vous avez toujours rêvé de manier le sabre laser ou de rétrécir vos gosses, réveillez-vous : le cinéma, c'est pipeau et compagnie ! La célèbre Professeure Moustache épluche les aberrations scientifiques qui peuplent vos films et séries préférées. La science, ce n'est peut-être pas du cinéma, mais avec la Prof Moustache, c'est terriblement drôle ! Car l'objectif, à la fin de chaque article, reste avant tout d'avoir un peu appris, mais aussi beaucoup ri !
Avec Le pire n'est même pas certain, la galerie de portraits créés par le dessinateur Voutch s'enrichit d'une passionnée de pizzas, d'un patron en état d'hypo-affectivité, d'un amateur de tourisme sexuel intensif, d'une secte de deux personnes et d'un charcutier cinéphile, quoique lubrique. Sans oublier Monsieur Yeti, comme le Yeti, et le grand Moulouk.
Si l'on croise dans cette fine chronique des temps modernes les incontournables utilisateurs de portables et quelques internautes, on peut se demander néanmoins si tous ces personnages en quête de convictions sont prêts à affronter le nouveau millénaire et ses incertitudes...
Le pire n'est même pas certain.
L'histoire mythique du peuple juif commence par le rire, celui d'Abraham et de Sarah apprenant que, presque centenaires, ils auront un fils. Et ce n'est pas tout : Dieu ordonne aux futurs parents d'appeler ce fils Isaac, Yitzhak, « qui rira » ! Ce rire juif, qui va du Talmud à Tristan Bernard, à Sholem Aleichem, à Pierre Dac, à Woody Allen, à Romain Gary, à Georges Perec, à Philip Roth, à Rabbi Jacob ou à La Vérité si je mens, en passant par Bergson, Freud et Groucho Marx, est un rire ouvert, tonitruant, irrespectueux de tout, qui défie le destin. En Galicie, à Tunis, à New York, partout. Même à Auschwitz. Dans une baraque, quelques juifs prient. Un d'eux, oubliant où il se trouve, lève la voix. Les autres le rappellent à l'ordre. «Tais-toi donc ! Dieu pourrait t'entendre et se rendre compte qu'il 'en ' reste encore ! » Il ne s'agit pas ici d'un nouveau recueil de blagues, de witz juifs. Dans ce dictionnaire aigre-doux (comme l'aliment préféré de l'auteur, les cornichons), Adam Biro, en consacrant des articles à la « Bible », au « Chemin », aux « Femmes », à la « Modestie » ou à la « Vérité », réfléchit au principe même de l'humour juif, partie intégrante du judaïsme. À ses origines, à sa raison d'être, à sa structure et à son rôle - tout en racontant des witz dont les héros immortels sont Moïshe le tailleur, le docteur Lévy, le petit Maurice, madame Taïeb ou le mythique Ch'ra d'Afrique du Nord. Et le livre se termine sur une question comme celle qu'attend le rabbin qui parcourt son shtetl en criant : « J'ai une réponse, posez-moi une question ! » Mais quelle est donc La réponse ?
Tina a bien des soucis : elle vient de se débarrasser de son mari d'une manière suffisamment brutale pour que l'intervention de la police ne puisse être évitée. La police, c'est l'inspecteur Manny Rupert qui, lui, a un problème existentiel : il hait les flics au moins autant qu'il se hait lui-même d'en être un. Une situation impossible quand on a le coup de foudre pour la meurtrière. Politiciens, truands, policiers, toubibs véreux, médias, Jerry Stahl tire à vue sur une Amérique en train de perdre les pédales, dans ce roman aussi féroce que réjouissant. Depuis Harry Crews, on n'avait pas vu un univers aussi baroque et survolté, une fable d'une telle noirceur, saluée avec enthousiasme par James Ellroy et Nick Tosches.
L'art de faire bouillir la débilité ambiante dans ses contradictions. Peut-on remplacer les enseignants par des distributeurs de diplômes ?
Faut-il expulser du territoire son bébé ne parlant pas français quand on est patriote et républicain ?
Doit-on incarcérer de futurs criminels pour éviter qu'ils ne commettent de futurs crimes sur de futures victimes ?
Retrouvez toutes les réponses à ces questions dans Faut pas prendre les cons pour des gens, un album d'humour absurde sur la bêtise ordinaire.
Dans ce livre, Reuzé et son fidèle compagnon Rouhaud, n'épargnent rien ni personne pour notre plus grand plaisir.
Le dessin de Reuzé singe la BD contemporaine qui n'hésite pas à reprendre le même dessin sur plusieurs cases.
Comme vous l'aurez compris, ce bougre ne prend vraiment rien au sérieux, pas même son éditeur !
EMMANUEL REUZÉ TORD ET MALTRAITE LES CLICHÉS DE LA SOCIÉTÉ ET LIVRE UNE BD HILARANTE ET GRINÇANTE À SOUHAIT.
UNE BD HILARANTE ET GRINÇANTE QUI TORD ET MALTRAITE LES CLICHÉS DE NOTRE SOCIÉTÉ. Faut-il une dérogation pour insulter un patron raciste ?
Peut-on passer des vacances sur le continent de plastique ?
Peut-on se faire rembourser un enfant défectueux ?
Retrouvez toutes les réponses à ces questions dans Faut pas prendre les cons pour des gens, un album d'humour absurde sur la bêtise ordinaire.
Après les succès des deux premiers tomes, Faut pas prendre les cons pour des gens revient en novembre pour un tome 03 toujours aussi hilarant et terriblement efficace. Un petit bijou d'humour noir et absurde sur la bêtise ordinaire. Après deux années de travail à manipuler la mécanique de l'absurde pour mieux tordre les clichés de notre société, Emmanuel Reuzé approfondit son analyse de la bêtise humaine et publie un troisième opus toujours aussi drôle et grinçant.
Dans ce nouvel album, il aborde par l'absurde des grands sujets de société tels que l'enseignement, la pauvreté, le racisme ordinaire, l'intelligence artificielle, la radicalisation, le dopage, l'eugénisme, le harcèlement publicitaire, la corrida, les services après vente, les déserts médicaux...
Chaque gag est construit avec intelligence, dans un style réaliste dont la répétition de cases creuse le décalage comique entre dialogues et situations. Mais s'il a bien conservé son style réaliste, Reuzé a continué à développer son dessin sur ce troisième tome pour nous offrir de superbes pages qui fourmillent de détails. Avec un humour absurde et féroce, Emmanuel Reuzé, Nicolas Rouhaud, Jorge Bernstein et Vincent Haudiquet font une fois de plus la démonstration de la bêtise du réel, et dénoncent sa violence.
Oublier le passage de la petite souris, traumatiser sa fille avec une terrifiante histoire d'arbre qui pousse dans l'estomac, dénicher des conseils peu avisés pour encourager fiston à taper plus fort sur le punching bag... Guy Delisle, un mauvais père ? Non, un auteur de bande dessinée qui sait puiser l'imagination là où elle se trouve, avec un sens aigu de l'observation et une bonne dose d'autodérision.
Et voici le troisième recueil des brillants strips de Tom Gauld ! Après avoir révélé les liens occultes entre robotique et littérature dans Vous êtes tous jaloux de mon jetpack, puis démystifié les affres de la création avec En cuisine avec Kafka, Tom Gauld retourne au laboratoire de ses premières amours : robots à lunettes, scientifiques approximatifs et pandémies interplanétaire... Avec finesse et facétie, Tom Gauld brosse cette fois un portrait fantaisiste du monde des Sciences ! De son oeil acéré, il décortique le jargon des physiciens nucléaires, explore les recoins mystérieux des labos de recherches, et se prend de tendresse pour quelque bactérie insignifiante et délaissée...
Et l'on s'amuse avec lui des théories fumeuses qui sortent de ces cerveaux surchauffés ! Certes, ce n'est pas grâce à ce livre que vous comprendrez les équations différentielles, mais vous saurez enfin comment faire rire votre cousine entomologiste aux repas de famille et ça, c'est une découverte majeure.
Un auteur de bande dessinée, alors qu'il fait ses courses, réalise qu'il n'a pas sa carte de fidélité sur lui. La caissière appelle le vigile, mais quand celui-ci arrive, l'auteur le menace et parvient à s'enfuir. La police est alertée, s'engage alors une traque sans merci, le fugitif traversant la région, en stop, battant la campagne, partagé entre remord et questions existentielles.
Assez vite les médias s'emparent de l'affaire et le pays est en émoi. L'histoire du fugitif est sur toutes les lèvres et divise la société, entre psychose et volonté d'engagement, entre compassion et idées fascisantes. Car finalement on connaît mal l'auteur de BD, il pourrait très bien constituer une menace pour l'ensemble de la société.
Voici le nouveau récit choral de l'imparable Fabcaro, entre road-movie et fait-divers, l'auteur fait surgir autour de son personnage en fuite, toutes les figures marquantes -et concernées- de la société (famille, médias, police, voisinage...) et l'on reste sans voix face à ce déferlement de réactions improbables ou, au contraire, bien trop prévisibles.
Hollywood, années 50. Au coeur de l'usine à rêves du cinéma, l'immense actrice Betty Pennyway est victime d'un crime sans précédent et particulièrement abominable. L'affaire fait la Une de toute la presse et l'Amérique entière est en émoi. La police de l'état fait appel au peu orthodoxe inspecteur Hernie Baxter pour mener cette délicate enquête qui secoue tout le petit monde du 7ème Art.
Moon River est un polar noir, poisseux et angoissant, au suspense insoutenable, dont on découvre seulement à la page 12 que le coupable est l'acteur qui joue avec Betty Pennyway.
Le 2 juin dernier, le Français Thomas Pesquet, 38 ans, astronaute, rentrait sur Terre après avoir passé 6 mois dans la Station spatiale internationale. La réalisation d'un rêve d'enfant pour ce type hors-norme qui après avoir été sélectionné parmi 8413 candidats, suivit une formation intense pendant 7 ans, entre Cologne, Moscou, Houston et Baïkonour... Dans cette bande dessinée de reportage, Marion Montaigne raconte avec humour - sa marque de fabrique - le parcours de ce héros depuis sa sélection, puis sa formation jusqu'à sa mission dans l'ISS et son retour sur Terre.
Stéphane Chabert est le looser des loosers. Dans l'agence de pub qui l'emploie, il est la risée de ses collègues. On l'ignore, on le méprise. Mais un jour, il tombe sur une annonce mystérieuse qui vante les mérites d'un stage de vaudou. Stéphane Chabert décide de s'y rendre. Après tout, il n'a rien prévu ce week-end. Ni les autres week-ends d'ailleurs.
Voilà notre héros, incarné par Eric Judor, embarqué dans une série de situations plus absurdes les unes que les autres, dont Fabcaro a le secret.
Guacamole Vaudou est un roman-photo écrit par Fabcaro et joué par Eric Judor. La rencontre au sommet de deux rois de l'absurde.
Chroniques acides de la vie de coupleAcceptez-vous d'être débordés par les tâches du quotidien ? D'aller déjeuner chez vos beaux-parents chaque premier dimanche du mois ? De mettre une liste sur le frigo pour savoir qui fait quoi dans la maison ? Et d'avoir des idées divergentes sur l'éducation de vos enfants ? Alors félicitations, vous voici unis par les liens d'un mariage précaire et conflictuel !Auteur du désormais culte Zaï Zaï Zaï Zaï, Fabcaro nous offre dans ce nouvel ouvrage un portrait acide et décomplexé des relations de couple. Situations cocasses, moments absurdes, incompréhensions, quiproquos, confidences sur l'oreiller... une série de strips qui nous fait autant méditer sur la société que sur nous-même mais qui, surtout, n'oublie jamais de nous faire rire.
Eddy Mitchell et la raclette sont-ils compatibles avec une vie intime amoureuse ? Peut-on assumer le fait d'avoir un père manager conseil ? Comment s'assurer que les parents resteront bien jusqu'à la fin de la kermesse de l'école ? Qui gagnera la compétition d'enfilage de housse de couette ? Des questions fondamentales auxquelles Fabcaro apporte une réponse implacable, surprenante et finalement évidente.
La Bredoute est votre nouveau catalogue de vente par correspondance, pour la maison, le jardin et les voyages, pour vous mesdames, mais aussi pour vous messieurs. Et pour les enfants. N'hésitez pas non plus à consulter nos pages bricolage ou électro-ménager. Toutes les nouvelles tendances, les accessoires "malins" qui feront de vous des femmes modernes, des hommes à la page et des enfants choyés. Consommez en toute sérénité, grâce à nos prix "charisme" où "Coolcool" pour les meilleurs instants "plaisirs" de votre vie pleine de bonheur, d'objets originaux et tellement bien conçus. La vie est belle avec nous comme entre vous et l'avenir vous appartient également...
Reboot plus que simple réédition du premier livre de Fabcaro publié chez 6 Pieds sous terre en 2007, cette nouvelle mouture de La Bredoute gagne 8 pages, de la couleur et change de présentation afin de vous offrir une nouvelle saison printemps/hiver de votre catalogue préféré d'objets malins et décomplexés.
Une nuit, Miles O'Malley, treize ans, se faufile hors de chez lui pour aller explorer les étendues de Puget Sounds découvertes par la marée basse et trouve un calamar géant très rare, ce qui fait de lui une célébrité locale. Certains se demandent si cet adolescent imaginatif n'est pas un affabulateur ou... peut-être davantage ? En fait, Miles est surtout un gosse qui s'apprête à grandir, amouraché de la fille d'à côté, inquiet à l'idée que ses parents divorcent, et redoutant que tout, et même cette baie qu'il adore, lui soit enlevé. Alors que la mer continue à abandonner des présents issus de ses profondeurs mystérieuses, Miles se débat avec les difficultés qui accompagnent le processus tout aussi mystérieux par lequel on devient adulte.
C'était le temps des bombes et des tickets de rationnement.
En 1942, le petit Pierre cesse une bonne fois pour toutes de jouer à chat perché. La belle Perrine, elle, noie son dégoût du père dans les bras des Allemands. Un couple, un peu plus loin, emporte un nourrisson à l'abri d'un vieux moulin...
Fables ou cauchemars, leurs années de guerre ont laissé des traces, pour cent ans au moins, des cicatrices, tout un héritage. Deux générations plus tard, alors qu'est revenu le temps des couvre-feux, leurs descendants découvrent toutes ces histoires, pour mieux écrire la leur.
Cet ouvrage a fait partie de la sélection du Prix Hors Concours.
Nouveau livre de la collection Point Métal, Le Major et les Extraterrestres est une bande dessinée en photomontage réalisée par Emmanuel Reuzé et Jean-Luc Coudray. C'est la guerre, les extraterrestres se battent et les forces armées terriennes sont prêtes à attaquer... A l'affût de chaque invasion possible, Le major se soucie de la sécurité de notre planète. Afin de ne pas être envahi par les humanoïdes, nos héros doivent se ranger aux côtés du camp adverse, qui malheureusement est en train de perdre...
Voyage dans le monde de la science fiction, c'est au moyen d'un roman-photo, à l'aide d'objets réels, outils de la vie courante, tels que, matériel de bureau ou ustensiles de cuisine, que les auteurs nous content l'histoire du major et de son équipe. Une parodie d'aventure dans le domaine fantastique de l'espace.
Visuellement étonnant, l'esthétique du Major et les Extraterrestres navigue quelque part entre de vieux jeux vidéo à la Space Invader, et les films de Jan Svankmajer, mise en scène qui convient parfaitement à l'humour surréaliste de ce recueil.