La princesse de babylone

À propos

Apparu sur sa licorne en portant à son poing un phénix âgé de vingt-sept mille neuf cents ans...
Et six mois, le bel Amazan, venu du pays des Gangarides où les hommes vivent libres au rythme des lois de la Nature, " a juré aux dieux immortels de n'aimer jamais que Formosante, princesse de Babylone, et de lui apprendre comment on peut dompter ses désirs dans ses voyages. " Éducation sentimentale en forme de course poursuite à travers le monde, ce conte oriental somptueux, est le prétexte d'un voyage philosophique dans l'Europe des Lumières, où Voltaire, entre humour et coups de griffe, dénigre la sottise du pouvoir absolu, et prêche la tolérance, l'état de nature et de liberté.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Voltaire

  • Éditeur

    Frisson Esthetique

  • Distributeur

    Soleils Diffusion

  • Date de parution

    08/03/2007

  • EAN

    9782952335874

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    108 Pages

  • Longueur

    21 cm

  • Largeur

    15 cm

  • Épaisseur

    0.5 cm

  • Poids

    400 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Voltaire

1694-1778. Dernier enfant d'un riche notaire, Voltaire fait ses études chez les Jésuites et fréquente la haute société libertine. A la suite d'une altercation avec le Chevalier de Rohan, il s'exile en Angleterre où il découvre la philosophie de Locke (1726-1729). Il partage ensuite la vie de Mme du Châtelet, puis rentre à Paris où il mène une carrière de courtisan avant de tomber en disgrâce. De 1750 à 1753, il voyage à la cour de Berlin et se brouille avec Frédéric II. Enfin, en 1760, il s'installe à Ferney, sur la frontière franco-helvétique et en compagnie de Mme Denis, il règne sur un millier d'âmes, se fait agriculteur, architecte, fabricant de montres et de bas de soie. En 1778, il revient à Paris: le peuple de la capitale l'accueille avec un tel enthousiasme que certains historiens voient dans cette journée du 30 mars la première des "journées révolutionnaires".
On le croyait dramaturge; de nos jours, son théâtre est oublié mais il nous reste 1500 lettres, un Dictionnaire philosophique et une trentaine de contes. Il nous reste son intelligence, son ironie, sa rosserie, sa générosité et sa fantaisie. Maître de l'humanisme, il a collaboré à l'oeuvre de civilisation par sa lutte contre toutes les oppressions, au nom du bien-être, de la justice et de la libre pensée.

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